
Tellement la page est bleue
Prisonnier de cette beauté
Ensoleillée de mirages aqueux
Ces mots dits en début d'été
Se perdent en vagues lieux
Brisant le serment attisée
Du moment amoureux
En d'autres temps libérés
J'enverrai d'air fougueux
Le message tant espéré
De toi, l'être précieux
Le sable au vent emporté
Par un chant élogieux
Viendra impromptu se poser
Devant la plage de tes yeux
Tu sauras alors toute égayée
Que je t'aime affectueux
Laissant la promesse scellée
Pour l'éternité des dieux
Stéphane Émond
18062015po
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